Minato Takeda

Takeda Minato

Nom : : Takeda
Prénom : Minato
Surnom : aucun pour le moment
Age : 38 ans
Sexe : Homme
Race: Mage blanc

Pouvoirs:
-Magie blanche
-Contrôle de la lumière
-Soin
-Il métrise l’électricité et peut la modelée selon ses envie pour en faire des armes
- Il peut ce téléporter mais sur une courte distance

Armes : Une longue épée
Tendances : Bénéfique
Forces : Il n’agit pas sans réfléchir et est très calculateur. Il a une métrise totale de sa magie.
Faiblesses : L’eau et il est près à se faire tuer pour sauver un être cher.

Description physique :

Je mesure un mètre quatre-vingts pour soixante six kilos, je suis dans la norme, ni trop gros, ni trop maigre. J’ai les cheveux blonds, qui m’arrivent à la base du cou. Cheveux que je n’attache jamais, je les place toujours à la vas-vite. Quelque mèche blonde se promène sur mon visage, cachant légèrement mon regard. J’ai une couleur de peau assez pâle et de beaux yeux bleus couleur turquoise. Avec ma pupille fendue, caractéristique des mages, cela me donne un regard très profond. Les traits de mon visage sont bien dessinés, et ma bouche est plutôt fine. J’ai un visage très expressif, j’ai beaucoup de mal à dissimuler mes émotions. Cela se voit tout de suite, lorsque je suis en colère, que quelque chose me rend triste ou que je suis inquiet. Mon corps est plutôt bien sculpté. Je suis musclé juste ce qu’il faut, à vrai dire, j’ai plutôt un physique passe partout, ce qui pour moi en tant que voyageur est assez pratique. Je ne suis pas différent des autres, du moins au niveau du physique. Sinon, je porte une boucle d’oreille faite de métal gris avec une perle rouge dessus, sur le haut de mon oreille gauche. Je n’ai aucune cicatrice en revanche je possède un tatouage sur le bras gauche.
Maintenant voyons mes vêtements. Je n’aime pas beaucoup les couleurs vives, d’ailleurs je n’aime pas beaucoup les couleurs tout cour. C’est pour cela que je porte des vêtements sombres, Je suis vêtu d'un habit gris foncé, noir. Un pantalon noir et des gants noirs. Je porte généralement ce genre de vêtement lorsque je voyage, cela étant plus pratique si jamais je dois livrer des combats, et je me fais moins remarquer que si j’étais habillé en orange. Sinon, je porte parfois un Kimono rouge.

Description morale :

Je pense être quelqu'un de courageux, je ne recule pas devant le danger, et dès qu’une personne a besoin d’aide je n’hésite pas à lui porter secours. Je suis aussi une personne calme et réfléchie, je ne me lance jamais tête baissée, j’évalue toujours la situation. A bien y réfléchir, j’ai un peu un esprit philosophique, je me pose beaucoup de question sur le monde et ce qui m’entoure. Malgré le coté froid et impassible que je peux avoir, je cache un côté gentil et affectueux. J’ai tendance à être quelqu'un de très franc et je ne mâche pas mes mots, ce qui peut parfois blesser les personnes avec qui je suis. J’adore être au calme, cela me permet de méditer, je me sens plus serein après. Je me tiens à l’écart des autres et préfère la solitude. Je deviens très sérieux lors des combats, je peux me montrer aussi très sadique. Lorsque je veux des renseignements, je n’éprouve aucune gêne à torturer mes ennemis.
À cause de mon physique, du moins à cause de mes vêtements et de mon caractère (je pense que c’est le côté sadique), on me prend souvent pour un mage noir, mais cela ne me gêne pas le moins du monde, à vrai dire je me fiche de ce que peuvent bien penser les gens. Je déteste les clichés du genre « Il est habillé en noir alors c’est un mage noir ou un démon ! » Au fond de moi, j’aimerais trouver un moyen de ramener la paix pour arrêter de voir les gens souffrir, en attendant de trouver ce remède miracle je fais de son mieux pour aider les personnes dans le besoin.

Histoire:

Je suis né à Elthia, la ville des Mages blancs. Bien que je n’aie pas connu l’invasion des mages noirs dans ma cité, étant petit, j’ai tout de même développé une grande haine et une grande colère contre eux. Sûrement à force d’entendre les adultes déblatérer sur les mages noirs. Alors que j’étais encore un jeune enfant, mes parents partirent avec d’autres Mages Blancs tendre une embuscade à des mages noirs. De cette mission personne n’est revenu. Lorsque l’on est venu m’annoncer le décès de mes parents, je me suis promis de les venger et de supprimer de ce monde tous les mages noirs. Mais pour cela il fallait que je trouve un mage qui pourrait m’enseigner l’art de la magie. Bien que l’homme qui était devenu mon maître, me dise sans cesse que la vengeance ne menait nulle part, je ne voulais pas renoncer à la promesse que j’avais faite sur la tombe de mes parents. Chaque jour je devenais un peu plus fort, j’apprenais de nouveaux sorts et développais ma propre magie. Lorsque j’eu dix-huit ans, je regroupai un petit groupe de mage pour allait attaquer la ville des Mages Noirs. On se rendit au Mont Grenat et on entra dans la ville. Mais les Mages Noirs avaient une très bonne défense. Beaucoup de mes hommes tombèrent au combat. Quant à moi, je n’éprouvais aucune pitié à tuer tout ce qui croisait ma route. Mon cœur était toujours rempli de haine et de colère. Je voulais qu’ils payent pour m’avoir enlevé mes parents. Les cris et le sang fusaient autour de moi. Après avoir tué un homme qui s’était jeté sur moi pour m’attaquer, une femme arriva derrière moi et me donna un coup de poignard, fort heureusement, je le pris dans le haut du bras. J’attrapai le bras de mon agresseur et transperça son corps de ma lame. Elle s’écroula à mes pieds, sur le corps de l’homme qu’elle avait sûrement voulu défendre. Soudain je sentis quelqu’un m’attraper le bras et me tirer en arrière. Mon réflexe fut de tirer de toutes mes forces dans le sens inverse. Celui ou celle qui m’avait attrapé le bras fut projeté sur le sol. Je voulus m’en débarrasser en lui enfonçant ma lame dans le corps, mais je me stoppai en voyant que ce n’était qu’une fillette. La petite sanglotait et des larmes ruisselaient sur ses joues. Je ne pouvais pas la tuer, je ne suis pas un monstre tout de même. La petite se jeta sur le corps de la femme, ne me dite pas que… je venais de tuer ses parents. Je restais figé, je portais ma main plein de sang à mon visage, qu’est-ce que je venais de faire ? Je venais de faire subir à cette fillette ce que j’avais subit dix ans plus tôt. Je sentis mon cœur se déchirer, je regardais autour de moi, il y avait tellement de gens à terre, baignant dans leur sang, et tout ça pour quoi ? Cette guerre n’avait aucun sens. Je venais de réaliser à quel point la vie était précieuse. Des Mages Blancs qui étaient venus combattre à mes côtés, ils n’en restaient plus que trois debout, je donnais donc l’ordre de nous replier.
J’étais retourné à Elthia, les mois passèrent, la blessure de mon bras avait cicatrisé, mais pas celle de mon cœur. J’avais repris l’entrainement avec mon maître, mais je ne pouvais supporter d’entendre encore et encore les projets de vengeance et de guerre des Mages Blancs. Je décidais donc de quitter la ville et de voyager, je voulais oublier ses histoires de guerre. Mais dans chaque village où je faisais escale, les peuples se déchiraient, que ce soit les anges, les vampires, les humains… Pendant six ans je voyageais de terre en terre, de ville en ville. Jusqu’au jour où je fis escale à Gavaënia. C’est alors que j’entendis dire que des vampires étaient en train d’attaquer une maison de noble. Je me rendis au lieu dit, pour leur porter secours, mais je ne pu sauver qu’une enfant, Kana. Les vampires ayant tué son père, je la pris donc avec moi et lui enseignais tous ce que je savais. J’étais devenu sa nouvelle famille. Les années passèrent, mais je voyais très bien que Kana n’avait pas oublié son désir de vengeance envers ces vampires. C’est pourquoi, le jour ou elle apprit que le vampire qui avait tué son père était dans le coin, je la laissais aller l’affronter. Je savais très bien qu’elle n’était pas prête, mais je voulais absolument qu’elle apprenne que la vengeance ne mène nulle part. Je la suivie en douce et au moment où Kana fut paralysée par sa peur et que le vampire allait la tuer, je me pris le coup à sa place. Je la laissai croire à ma mort, même si cela me brisa le cœur de l’abandonner. Par amour pour celle que je considérais comme ma petite sœur, je préférais couper les liens et ne pas lui révéler que j’étais encore en vie, pour que Kana devienne plus forte, sans avoir besoin de se réfugier derrière quelqu’un, qu’elle arrive à se défendre, elle et ce qu’elle aime.

Compagnon (facultatif) :

Prénom :
Sexe :
Pouvoir (1 seul, en plus de parler si vous le souhaitez) :
Description physique et morale :
Petite histoire :

A propos de vous :

Prénom : Anaïs
Age : 20 ans
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